Parce que je pense que sans destination, tout voyage n'est que longue errance, que sans but, toute entreprise (dans le sens d'entreprendre) n'est que vague loisir, tout succès que pur hasard, toute victoire que gros coup de chance, si aucun objectif, aucune ambition, vision, pensée ne sous-tend une démarche, qu'elle soit intellectuelle, artistique, professionnelle, sportive, que sais-je encore, cette démarche me paraît sans fondement, absurde et vaine.
Ayant peut-être l'outrecuidance de penser que l'existence de ce blog n'est pas dénuée de sens, la question posée en titre devrait forcément trouver une réponse. Oui mais laquelle et pourquoi ?
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BIENVENUE SUR LE BLOG MARTIENLe Blog Martien est une compilation d'essais que j'ai écrits sur des questions universelles autour du sentiment amoureux, du rapport femme homme, de la psychologie du couple et de la sexualité. |
Faut-il éviter de coucher le premier soir ? Étude d'une vraie mauvaise question
Grande question devant l'éternel : Doit-on coucher le premier soir ou pas ? Cette question la plupart d'entre-nous se la sont posée comme si, de sa réponse, dépendait l'avenir d'une relation potentielle. Certains sautent le pas avec ou sans regrets, d'autres au contraire "tiennent bon" et respectent un "agenda" mais derrière cette interrogation se cache en réalité une question bien plus cruciale : Existe-t-il des raisons valables qui légitiment que deux personnes (qui s'attirent) refrènent leur désir sexuel lorsque l'opportunité d'y céder se présente ? Ces raisons ne seraient-elles pas que des idées reçues ?
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Convictions sur l'amour & la sexualité : Devrions-nous être plus ouvert d'esprit ?
Quand on est témoins de certaines réactions presque violentes face à des convictions qui s'opposent aux nôtres on peut se demander ce qu'il en est réellement de notre ouverture d'esprit. À quel point sommes-nous aptes à recevoir des informations qui heurtent nos convictions ? Sur quoi avons-nous fondé ces convictions et pourquoi ne seraient-elles pas au fond rien de plus que des croyances bien souvent à l'origine de nos échecs ?
Qu'est-ce vraiment que l'ouverture d'esprit ? Sert-elle à quelque chose ? Dans le cadre particulier de la vie amoureuse et sexuelle peut-on s'en passer ou au contraire, ne serait-elle pas tout bonnement indispensable ?
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Qu'est-ce vraiment que l'ouverture d'esprit ? Sert-elle à quelque chose ? Dans le cadre particulier de la vie amoureuse et sexuelle peut-on s'en passer ou au contraire, ne serait-elle pas tout bonnement indispensable ?
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Malchanceux en amour : fatalité ou libre arbitre ?
Comment se fait-il que certains(es) d’entre-nous aient tant de peine à trouver chaussure à leur pied, tombent quasi-systématiquement sur les mauvais profils, accumulent les échecs amoureux alors que d’autres enchainent avec une facilité déconcertante des relations longues et satisfaisantes, trouvent à chaque fois facilement leur bonheur ? Est-ce vraiment une question de chance ou cet argument ne serait-il en fait qu’un fallacieux mais fort utile prétexte pour nous éviter d’avoir à regarder la réalité en face ?
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Résoudre les conflits de couple : Communication et Empathie
Vivre à deux, dans la durée, engendre forcément de petites disputes, des conflits à plus ou moins grande échelle et une des clés de la réussite d’une relation ou, le cas échéant, une des causes de son échec est notre attitude face au conflit ainsi que notre plus ou moins grande aptitude à le gérer et le résoudre.
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Vaincre la peur de souffrir : Comment ne plus avoir peur d'aimer ?
Le bonheur éternel est un mythe à l’instar de beaucoup de croyances orbitant autour des relations amoureuses. Voué à une fin à plus ou moins longue échéance, la conséquence logique du bonheur est l’expérience de la souffrance due à sa perte. Nous n’avons donc d’autres choix que d’accepter cette réalité mais alors, comment envisager sereinement les relations amoureuses tout en sachant, réalistes que nous sommes, que le risque d’en souffrir un jour ou l’autre est réel ?
Comment aborder une relation amoureuse potentielle sans appréhension ? Quelle attitude adopter pour donner le maximum de chances à une relation d’exister sans que la crainte de la souffrance ne vienne parasiter notre enthousiasme et freiner nos élans ? Comment concilier nos attentes avec la réalité et vaincre la peur d’aimer ?
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Comment aborder une relation amoureuse potentielle sans appréhension ? Quelle attitude adopter pour donner le maximum de chances à une relation d’exister sans que la crainte de la souffrance ne vienne parasiter notre enthousiasme et freiner nos élans ? Comment concilier nos attentes avec la réalité et vaincre la peur d’aimer ?
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La souffrance ne fait-elle pas partie du bonheur ?
L'année dernière, j'ai traité du problème de la confiance en amour dans mon billet intitulé "existe-t-il un amour garanti sans risque?" mais derrière cette question se cache aussi une autre problématique, celle de la peur de l'échec, peur de la perte et de la souffrance qu'elle engendre. Dans le billet pré-cité, j'ai tenté de démontrer qu'accorder sa confiance, aimer, c'est forcément prendre un risque (nécessaire) mais je voudrai aller plus loin encore dans cette réflexion et soulever un paradoxe (qui n'en est pas un) en mettant au jour le rapport étroit qui existe entre amour/bonheur et souffrance pour donner ainsi des éléments de réponses aux personnes (trop nombreuses) pour qui l'idée de la souffrance en amour est plus ou moins consciemment devenue un frein pour ne pas dire un facteur totalement paralysant.
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Le véritable visage de la passion amoureuse
La passion amoureuse est au centre de bien des débats, souvent synonyme d’amour, de feu, d’intensité, pour beaucoup, sans passion la relation parait fade. Elle est recherchée, attendue, espérée. Dans nos lectures ou au cinéma, la passion est présentée comme l’idéal des amours romanesques. Mais dans la réalité, qu’en penser vraiment ?
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Existe-t-il un amour garanti sans risque ? Question de confiance
Nombre de personnes ont peur de tomber amoureuses, non pas parce que l’amour fait peur en lui-même mais pour les risques que cela implique. C’est alors que se pose la question de la confiance.
Question fondamentale s’il en est dans la mesure où cette valeur reste sans nul doute l’une des plus essentielles lorsqu’on envisage une relation tant sereine que pérenne, qu’elle soit amicale ou amoureuse. Peut-on imaginer une relation sans risque, quelles garanties sommes-nous en droit d’espérer ? Amour et garanties sont-ils mêmes des termes compatibles ? Où est le vrai risque ?
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Question fondamentale s’il en est dans la mesure où cette valeur reste sans nul doute l’une des plus essentielles lorsqu’on envisage une relation tant sereine que pérenne, qu’elle soit amicale ou amoureuse. Peut-on imaginer une relation sans risque, quelles garanties sommes-nous en droit d’espérer ? Amour et garanties sont-ils mêmes des termes compatibles ? Où est le vrai risque ?
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Fidélité, grande escroquerie de l'amour ? Quelle est sa valeur ?
Selon un sondage réalisé en 2011 auprès d'un panel représentatif de 733 femmes de 18 ans et plus (pannel Harris Interactive) afin de cerner leurs représentations de l'amour et du bonheur, la qualité principale recherchée chez un partenaire est pour la majorité d'entre elles : La fidélité. Merveilleuse vertu mais quelle est vraiment sa valeur et sa raison d'être ?
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Fuis-moi je te suis, le jeu du chat et de la souris
Que nous ayons été le chat ou la souris, tant en amour que dans la phase de séduction, nous avons tous été, un jour ou l’autre, confrontés à ce jeu du, “je te fuis, tu me suis, je te suis, tu me fuis”. Ce phénomène semble plus ou moins se répéter au fil des rencontres et des relations et il est parfois assez déstabilisant. Nous allons ici essayer de le comprendre et de l’expliquer afin de mieux en cerner les tenants et les aboutissants et si possible, être ainsi mieux capable de le gérer.
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Le recyclage amoureux : avenir d'une illusion ou illusion sans avenir ?
On connaît l'adage "on ne fait pas du neuf avec du vieux" et pourtant, nombre de couples dissous cherchent à se remettre ensemble, nombre de gens célibataires un temps, finissent avec leur "ex". Est-ce une bonne chose ?
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Les critères de choix : une aberration perverse
Dans mon dernier billet j’ai conclu que porter notre attention sur les choix de départ était probablement la meilleure façon de parvenir à prévenir l'échec de nos relations amoureuses. Je voudrais m’attacher maintenant étudier la question de ces choix dans un cas particulier, lorsque ceux-ci sont déterminés par des “critères”.
Le mot même de "critères" me pose problème dans le vocabulaire de l’amour et des relations hommes-femmes. Le critère est-il la seule condition nécessaire pour porter un jugement viable ? En amour, peut-on réellement faire des choix valables lorsqu’ils sont basés sur des critères ? Si ça n'est pas le cas, alors comment faire ?
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Le mot même de "critères" me pose problème dans le vocabulaire de l’amour et des relations hommes-femmes. Le critère est-il la seule condition nécessaire pour porter un jugement viable ? En amour, peut-on réellement faire des choix valables lorsqu’ils sont basés sur des critères ? Si ça n'est pas le cas, alors comment faire ?
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Prévenir l'échec amoureux : avant tout une question de choix
Il y a plusieurs raisons qui peuvent expliquer l’échec d’une relation et nous avons tous, à un moment ou à un autre, été confrontés à la question "qu’aurai-je pu ou du faire pour éviter de me planter une fois de plus ?" et "comment et à quel moment aurai-je du réagir ?".
Je me propose donc ici de mettre en avant le "pourquoi" afin de déterminer le "comment" et surtout le "quand" même si comme d’habitude, je ne prétends pas avoir la science infuse et qu’il ne s’agit, je préfère le rappeler, que d’une humble analyse qui n’engage que moi.
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Je me propose donc ici de mettre en avant le "pourquoi" afin de déterminer le "comment" et surtout le "quand" même si comme d’habitude, je ne prétends pas avoir la science infuse et qu’il ne s’agit, je préfère le rappeler, que d’une humble analyse qui n’engage que moi.
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La jalousie : preuve d’amour ou au contraire de pur égoïsme ?
On entend communément ça et là “si il ou elle m’aime alors il va forcément se montrer naturellement un peu jaloux(se)” ce qui sous-entendrait que la jalousie est une des manifestations de l’amour que l’on porte à l’autre et qu'à contrario son absence serait une marque de totale indifférence. D’un autre coté, la doxa (l’opinion commune) reconnaît qu’une des bases indispensable de l’amour est la confiance. Mais alors, si on a véritablement confiance en l’autre et en l’amour qu’il nous porte, quelles raisons a-t-on de mettre cette confiance en doute. Tout ça est très paradoxal.
Est-ce de l’autre ou de lui-même dont le jaloux se préoccupe ?
Lorsque nous sommes victimes d'un jaloux doit-on l'interpréter comme une preuve d'amour ou à l'inverse comme une manifestation de total égoïsme ?
Doit-on se réjouir de déceler de la jalousie chez l'autre ou au contraire, doit-on se méfier du jaloux comme de la peste ? Pourquoi ?
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Est-ce de l’autre ou de lui-même dont le jaloux se préoccupe ?
Lorsque nous sommes victimes d'un jaloux doit-on l'interpréter comme une preuve d'amour ou à l'inverse comme une manifestation de total égoïsme ?
Doit-on se réjouir de déceler de la jalousie chez l'autre ou au contraire, doit-on se méfier du jaloux comme de la peste ? Pourquoi ?
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POLYAMOUR : Peut-on aimer plusieurs personnes à la fois ?
Lorsque j'ai abordé la question de la dissociabilité de l'amour et du désir sexuel dans mon billet du 26 mai dernier, j'ai reçu par la suite plusieurs commentaires, dont un récemment de Lola, qui me demande s'il est possible d'aimer 2 hommes à la fois. La question est intéressante et découle logiquement de celle abordée dans le billet précité.
En effet, puisque j'ai conclu que le désir sexuel et les sentiments étaient dissociables, qu'on pouvait donc désirer sexuellement plusieurs personnes tout en étant amoureux d'une autre, on peut se demander pourquoi l'inverse ne serait pas concevable, à savoir : aimer d'amour plusieurs personnes (en éprouvant ou pas du désir sexuel pour elles). C'est ce qu'on appelle le POLYAMOUR.
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En effet, puisque j'ai conclu que le désir sexuel et les sentiments étaient dissociables, qu'on pouvait donc désirer sexuellement plusieurs personnes tout en étant amoureux d'une autre, on peut se demander pourquoi l'inverse ne serait pas concevable, à savoir : aimer d'amour plusieurs personnes (en éprouvant ou pas du désir sexuel pour elles). C'est ce qu'on appelle le POLYAMOUR.
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Désir sexuel et sentiments amoureux sont-ils indissociables ?
A la suite de mon dernier billet intitulé "Partenaire sexuel unique ad vitam eternam, modèle réaliste ou fantaisiste ?" je laisse une question en suspend, celle de la relation entre amour et désir sexuel. C'est une question qui divise souvent les hommes et les femmes et c'est pourquoi elle a tout naturellement sa place dans ce blog.
Si, comme nous l'avons vu, les institutions religieuses, républicaines et la "morale" semblent imposer ou valider l'idée de l'indissociabilité du sexe et des sentiments, là encore, dans la réalité rien n'est moins sûr. Ce qui remet alors en cause pas mal de dogmes sur d'autres questions fondamentales.
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Si, comme nous l'avons vu, les institutions religieuses, républicaines et la "morale" semblent imposer ou valider l'idée de l'indissociabilité du sexe et des sentiments, là encore, dans la réalité rien n'est moins sûr. Ce qui remet alors en cause pas mal de dogmes sur d'autres questions fondamentales.
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Partenaire sexuel unique ad vitam eternam, modèle réaliste ou fantaisiste ?
Même s'il est avéré qu'un peu plus de la moitié de la planète prône la polygamie, en occident, c'est bien la monogamie qui prévaut comme modèle de couple. Monogamie instituée par une morale judéo-chrétienne qui veut qu'un même homme ne soit marié qu'à une seule femme (et vice vers ça) et par extension, ne partage son lit qu'avec cet unique partenaire jusqu'à ce que la mort les sépare. Ce modèle ancestral est-il viable, l'a-t-il seulement été un jour, assure-t-il la pérennité d'un couple, son bonheur et surtout son équilibre ? Rien n'est moins sûr.
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Jusqu'où doit aller la galanterie, les limites du savoir-vivre ?
Il est intéressant de constater qu'aujourd'hui la plupart femmes attendent toujours des hommes les mêmes égards que par le passé tout en revendiquant les mêmes droits. Est-ce logique ? Quels étaient les codes d'antan, leurs raisons d'être, et peuvent-ils légitimement être transposés à nos jours ? Un homme doit-il encore payer pour tout et si cela n'est pas le cas, doit-il être considéré comme un goujat ? Après réflexion, tout me laisse penser le contraire...
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Bi-érotisme / Bisexualité : Nature de la femme
Dans la vie quotidienne, le comportement des hommes entre eux est sensiblement différent de celui des femmes entre elles. Cela se concrétise notamment à travers les attitudes, les gestes et les paroles. Cette différence de comportement des hommes et des femmes vis à vis de leurs alter-egos semble, qui plus est, universelle. Nos sociétés l'ont d'ailleurs totalement intégrée. Je me suis posé la question de l'étendue de cette différence et de ses raisons ainsi que de ses implications... C'est alors que les notions de bisexualité, bi-érotisme, m'apparaissent comme nature de la femme.
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Qui est donc le martien, auteur de ce blog sur l'amour ?
Cela fait quelques mois que j'ai commencé ce blog que j'avoue ne pas alimenter de façon régulière. Non que je n'ai pas le temps mais simplement parce que je n'écris qu'après de longs cheminements intellectuels sur les sujets que j'aborde et que je cherche à aller le plus possible en profondeur dans les raisonnements que je développe.
Si je reprends la plume aujourd'hui c'est parce que j'ai reçu beaucoup de commentaires, très positifs, des remerciements, essentiellement de la part de femmes d'ailleurs et cela fait plaisir de voir que beaucoup sont sensibles à mes propos.
Si je reprends la plume aujourd'hui c'est parce que j'ai reçu beaucoup de commentaires, très positifs, des remerciements, essentiellement de la part de femmes d'ailleurs et cela fait plaisir de voir que beaucoup sont sensibles à mes propos.
Il est temps peut-être que j'en dise un peu plus sur moi car je ne suis pas un être virtuel mais une vraie personne et la communication électronique a une singulière tendance à désincarner ses auteurs. Alors, pour ceux dont ça pique la curiosité, je vais vous dévoiler celui qui se cache derrière ce blog...
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L'idéal Masculin ou le portrait robot de l'homme parfait
La psychologie des femmes est un labyrinthe et lorsqu'il s'agit pour les hommes de comprendre le fonctionnement de cette machine complexe, on a de quoi s'y perdre. Au détour de quelques discussions, de la lecture de quelques annonces de filles sur internet, de quelques forums et autres blogs féminins j'ai essayé de faire une synthèse. J'en ai tiré ce portrait de leur idéal masculin, ainsi que les conclusions qui s'imposent. Cela a donné une chanson dont je vous offre ici le texte.
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La séduction ou comment éviter les pièges des premiers instants d'une rencontre (1ere partie)
Séduire n'est pas chose facile pour plusieurs raisons. D'une part il s'agit d'un état d'esprit à adopter mais aussi d'une capacité à apprivoiser l'autre.
On avance en terre inconnue et même si on fait confiance à son "feeling" pour séduire l'autre, il n'en reste pas moins vrai que susciter le désir, l'envie, créer une intimité, pénétrer un autre territoire sans qu'il y ait de heurts est un exercice souvent acrobatique et malheureusement sans filet. À tout moment, l'autre peut avoir envie de laisser tomber et ce ne sont pas les obstacles et les embûches qui manquent. D'autant plus que nous avons tous des sensibilités différentes et cette tendance maladive à oublier à quel point l'autre n'est pas nous.
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On avance en terre inconnue et même si on fait confiance à son "feeling" pour séduire l'autre, il n'en reste pas moins vrai que susciter le désir, l'envie, créer une intimité, pénétrer un autre territoire sans qu'il y ait de heurts est un exercice souvent acrobatique et malheureusement sans filet. À tout moment, l'autre peut avoir envie de laisser tomber et ce ne sont pas les obstacles et les embûches qui manquent. D'autant plus que nous avons tous des sensibilités différentes et cette tendance maladive à oublier à quel point l'autre n'est pas nous.
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La séduction ou comment éviter les pièges des premiers instants d’une rencontre (2eme partie)
Une fois passée la première phase de séduction, les premiers contacts avec l'autre, passé le moment des premiers contacts physiques, rien n'est joué. Et si, de l'extérieur couple il y a, en réalité, on est encore loin du couple et là non plus rien n'est joué. Je dirais même que les pièges sont à la fois plus nombreux et plus pernicieux que lorsqu'il existait encore une barrière, celle de l'intimité. Cette barrière désormais abolie, on se sent plus en confiance avec soi-même et avec l'autre et si on n'y prend pas garde, tout peut tomber à l'eau...
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Femme ou Homme de sa vie : Etre unique : mythe ou réalité ? Quelles implications ?
On entend souvent l'expression "l'homme (ou la femme) de sa vie", "son âme soeur", "sa moitié". Toutes ces expressions qui sous-entendent qu'il existerait quelque part une personne "faite pour soi" et par extension qu'il n'y aurait pas grand chose à attendre des autres sur le plan amoureux.
Le concept de "amour de sa vie" est-il viable pour orienter ses choix amoureux ou au contraire n'est-il qu'un bon moyen de passer à coté de l'amour sans même s'en rendre compte?
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Le concept de "amour de sa vie" est-il viable pour orienter ses choix amoureux ou au contraire n'est-il qu'un bon moyen de passer à coté de l'amour sans même s'en rendre compte?
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L'amour existe-t-il d'emblée ou se construit-il ?
On dit communément que l'amour se construit (donc qu'il fait appel à une démarche raisonnée) mais on connaît tous aussi le fameux adage "l'amour a ses raisons que la raison ne connaît pas" (ne serait donc issu que d'une réaction purement pulsionnelle, hors du champs de la raison) alors raison ou passion ? volonté ou fatalité ? L'amour existe-t-il d'emblée ou se construit-il ?
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A la recherche de "l'étincelle" !
Je constate autour de moi de plus en plus de femmes autour de la trentaine ou un peu plus qui n'arrivent plus à être amoureuses ou qui ne l'ont pas été depuis longtemps, ce qui revient à peu près au même.
Quand je leur demande : "mais ces dernières années tu n'as rencontré aucun homme qui te plaisait, que tu as pu trouver attirant, sympa, drôle, gentil ou/et attentionné ?" la réponse qui arrive presque systématiquement c'est : "Bien sûr que j'en ai rencontré, on s'est vu quelques fois, je suis sortie avec certains, mais il n'y avait jamais l'étincelle, donc à quoi bon continuer". Puis elles s'expliquent cela en le mettant sur le dos "d'une exigence plus grande qu'avant" ou "de la faute à pas d'chance". Bien évidemment le problème n'est pas là.
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Quand je leur demande : "mais ces dernières années tu n'as rencontré aucun homme qui te plaisait, que tu as pu trouver attirant, sympa, drôle, gentil ou/et attentionné ?" la réponse qui arrive presque systématiquement c'est : "Bien sûr que j'en ai rencontré, on s'est vu quelques fois, je suis sortie avec certains, mais il n'y avait jamais l'étincelle, donc à quoi bon continuer". Puis elles s'expliquent cela en le mettant sur le dos "d'une exigence plus grande qu'avant" ou "de la faute à pas d'chance". Bien évidemment le problème n'est pas là.
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